Fêtes catholique en décembre | ||
Date | Photo | Nom et description |
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Saint Eloi: Gallo-romain, « le bon saint Eloi » appartenait à une famille de paysans aisés qui travaillaient eux-mêmes leur domaine, à la différence de tant de grands propriétaires qui les faisaient cultiver par de nombreux esclaves. Il entra comme apprenti orfèvre dans un atelier où l'on frappait la monnaie royale selon les méthodes romaines anciennes. Ses qualités professionnelles allaient de pair avec une scrupuleuse honnêteté. Il a la confiance du roi qui lui demande de résider à Paris, comme orfèvre royal, fonctionnaire de la Trésorerie royale et conseiller à la cour. Nommé « monétaire » (fabricant de la monnaie de l'Etat) à Marseille, il rachètera de nombreux esclaves que l'on vendait sur le port. Rappelé à Paris, il reçoit, entre autres, la commande d'orner les tombes de sainte Geneviève et de saint Denis et réalise des châsses pour saint Germain, saint Séverin, saint Martin et sainte Colombe et de nombreux objets liturgiques pour la nouvelle abbaye de Saint-Denis. En 632, il fonde le monastère de Solignac au sud de Limoges et un an après, dans sa propre maison de l'île de la Cité, le premier monastère féminin de Paris dont il confiera la charge à sainte Aure. Ordonné prêtre, il devient évêque de Noyon et Tournai, un diocèse qui s'étend jusqu'à Courtrai, Gand et la Frise néerlandaise. Il tente, sans grand succès, d'évangéliser la région d'Anvers. Au travers de ses sermons, nous connaissons la situation religieuse de cette époque et les superstitions païennes qu'il rencontre. Il fait sienne la spiritualité de saint Colomban, le moine irlandais, et fonde de nombreux monastères. Nous le trouvons au concile de Chalon-sur-Saône et en Aquitaine, à Uzès et à Marseille. Il meurt en 660, à la veille de partir pour Cahors. |
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2 | Bx Jean Ruysbroeck: Originaire du village belge dont il porte le nom, il est appelé « Ruysbroeck l'admirable ». Son oncle, prêtre de Sainte-Gudule à Bruxelles se chargea de son éducation. Jean fut ordonné prêtre à 24 ans. Il sera chapelain de Sainte-Gudule vingt-cinq ans durant. Tout en poursuivant ses activités sacerdotales dans la paroisse, il écrivit plusieurs ouvrages mystiques par lesquels il cherche à faire partager son intense vie contemplative : « Les sept clôtures », « La pierre étincelante », « Le royaume des amants ». C'est un regard aigu qu'il pose sur le monde et sur l'Eglise de son temps : il voit la cause de tous les maux dans la pauvreté de la vie intérieure. Mais, dans le même temps, il s'attaque aux illuminés qui cherchent à dévoyer les fidèles et à les entraîner sur les chemins d'une mystique hors de l'Eglise. A 50 ans, il se retire avec quelques amis dans un petit ermitage de la vallée de Groenendal, adopte la règle de saint Augustin et devient prieur d'une petite communauté durant les trente-huit années du restant de sa vie. Il compose beaucoup d'autres ouvrages mystiques : « Les noces spirituelles », « Les sept clôtures », « Le livre de la plus haute vérité », etc. jouant ainsi un rôle important de maître spirituel que l'on vient consulter de loin et que l'on consulte encore, car il est d'une étonnante actualité. |
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Saint François-Xavier: Sixième enfant d'une famille de grande noblesse et de petites ressources, il quitta la Navarre pour faire ses études à l'Université de Paris. Il partageait sa chambre avec un étrange étudiant, âgé de 40 ans, Ignace de Loyola. Au début, François-Xavier supporta mal le caractère du compagnon de résidence que la pauvreté lui imposait. Longtemps il résista à l'ardeur évangélique de cet homme de feu, mais, avec lui, le 15 août 1534, il prononce ses voeux et fonde avec lui la Compagnie de Jésus, les Jésuites. Lorsque le Pape demande des missionnaires pour l'Inde, François-Xavier dit simplement : « Eh bien, me voici ! » Pendant une dizaine d'années, il travaillera à la conversion des pêcheurs de perles, mais il se sent appelé pour porter plus loin l'Evangile et c'est ainsi qu'en 1546, il part à Ceylan, puis il est en Extrême-Orient où il fonde les premières communautés chrétiennes au Japon. Son désir de propager l'Evangile de Jésus Christ est si grand qu'il projette d'aller en Chine, mais il meurt à Sancian, avant de pouvoir traverser la mer qui l'en sépare. |
4 | Saint Jean Damascène: Jean Mansour est né à Damas en Syrie, dans une famille de fonctionnaires des impôts, arabe et chrétienne. Son grand-père et son père ont servi successivement sous les Perses, les Byzantins et les Arabes. Mansour, à son tour, supervise durant des années, la perception des impôts que les chrétiens doivent à l'émir de Damas. Vers 720, le nouveau calife décide d'islamiser son administration et en chasse les chrétiens. Mansour a 45 ans et il est désormais sans travail. Cette liberté lui permet de se rendre en Palestine où il entre au monastère de Mar Saba (saint Sabas) entre Jérusalem et Bethléem. Devenu prêtre, il prend le nom de Jean et partage désormais sa vie entre la prédication à Jérusalem où le patriarche l'a choisi comme conseiller théologique et l'étude dans son monastère. Son principal écrit, la « Source de la connaissance », résume toute la théologie byzantine. Il est aussi un grand défenseur des images saintes lors de la première crise iconoclaste. On lui doit de nombreux tropaires, des hymnes et des poèmes. C'est lui composa le canon que la liturgie chante à Pâques et il rédigea la plupart des hymnes de l'Octoèque (hymnes pour les dimanches selon les huit tons musicaux) en l'honneur de la résurrection du Seigneur. Le Pape Léon XIII l'a proclamé docteur de l'Eglise en 1890. |
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5 | Saint Sabas: Né en Cappadoce, il entra tout jeune dans un monastère de cette région. A 18 ans, le voilà parti pour Jérusalem. Il rêve de solitude et pour cela s'en va rejoindre saint Euthyme qui l'envoie faire un stage de vie communautaire à la laure de saint Théoctiste, près de la Mer Morte : « La vie solitaire n'est pas faite pour cette jeunesse » pense saint Euthyme. Dix ans durant, Sabas apprend à être moine. Puis il s'établit dans une grotte, seul devant Dieu durant la semaine, avec ses frères pour la liturgie du dimanche. Mais de nombreux moines le rejoignent car « la sainteté attire les disciples comme le miel attirent les ours ». Il doit fonder la Grande Laure. A 55 ans, le patriarche de Jérusalem le nomme archimandrite des ermites de Palestine. Les controverses théologiques divisent ses moines. Lui-même soutient le concile de Chalcédoine. Il se fait le promoteur d'un monachisme modéré, obtient de l'empereur l'abolition des impôts sur les artisans et fait indemniser les pauvres paysans. Ses reliques qui, lors des invasions arabes, avaient été conduites à Venise, ont été rendues par Paul VI aux moines du couvent de Mar Saba (saint Sabas) en 1965. |
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6 | Saint Nicolas de Myre: Nous ne savons que peu de choses de lui. Il naquit en Asie Mineure, devint évêque de Myre et, à ce titre, il assiste et souscrit au concile de Nicée en 325. Par contre, sa vie posthume est beaucoup plus riche, grâce aux légendes sans doute fondées sur la réputation de sa bonté envers les pauvres et les enfants. Son tombeau devient un lieu de pèlerinage, d'abord à Myre, puis à Bari en Italie où ses reliques furent transportées au XIe siècle pour les protéger des Musulmans. Chaque année, des délégations des Eglises orthodoxes, particulièrement de Russie, viennent se joindre au pèlerinage des catholiques latins, en une rencontre oecuménique significative. Le « bon saint Nicolas » est invoqué aussi bien en Orient où il est le patron des Russes, qu'en Occident où il est le patron des enfants et, si l'on peut parler ainsi, l'ancêtre du Père Noël. |
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7 | Saint Ambroise: Cet avocat célèbre avait une si grande personnalité qu'il devint gouverneur de la province de Milan. Il découvrit Jésus Christ et il n'était encore que catéchumène lorsque, de passage dans sa ville, il fut élu évêque par acclamation du peuple. Il est alors immédiatement baptisé, ordonné prêtre, consacré évêque en peu de temps. Saint Ambroise est un véritable évêque, soucieux de la rectitude de la foi et de la paix sociale. Ses relations avec les empereurs successifs qui favorisent tantôt les catholiques, tantôt les hérétiques ariens, sont mouvementées. En 390, l'empereur Théodose fait massacrer toute une partie de la population de Thessalonique pour arrêter des émeutes. Pour cette raison, saint Ambroise lui refusera l'accès de son église à Milan, exigeant qu'il se soumette d'abord à la pénitence publique de l'Eglise. L'empereur, subjugué, obéit et, depuis ce jour et après des mois de pénitence, Théodose ne communiera plus dans le sanctuaire avec les prêtres (selon le privilège impérial), mais au milieu des laïcs. Saint Augustin doit, en partie, à saint Ambroise, sa conversion, lui qui, en cachette, épiait ses sermons, écoutait sa pensée, admirait la parole de ce grand orateur. Saint Ambroise avait un grand souci de belles liturgies. Il introduisit dans l'Eglise latine l'usage grec de chanter des hymnes qui étaient à la fois des prières, des actions de grâce et des résumés du dogme. Il en composa plusieurs que nous chantons encore aujourd'hui : « Aeternae rerum conditor » – « Deus creator omnium » (Dieu créateur de toutes choses). |
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Fête de la Vierge Marie: Depuis toujours, les Eglises d'Orient fêtaient la pureté originelle de Marie, en une fête de « la Conception de la sainte Mère de Dieu » le 9 décembre ou, plus exactement, la fête de la conception de Marie dans le sein de sainte Anne. Les Latins l'adoptèrent progressivement à partir du 10ème siècle, mais saint Bernard, saint Bonaventure, comme saint Thomas d'Aquin se refusaient encore à admettre cette « Immaculée Conception ». Saint Jean Duns Scot fut le premier à la faire triompher et à faire s'y rallier la Sorbonne de Paris. Les papes intervinrent maintes fois au cours des siècles pour imposer silence à cette querelle jusqu'au jour où Pie IX la définit comme un dogme de foi, en 1854 : « Dès le premier instant de sa conception, par grâce et privilège uniques du Dieu Tout-Puissant, la bienheureuse Vierge Marie a été préservée du péché originel. » Comme au premier jour de la Création quand Adam et Eve sortaient des mains du Créateur, la mère de son Fils était là, minuscule cellule humaine pourvue d'une âme toute sainte. Elle est ainsi « devenue la gloire de notre nature pécheresse ». |
9 | Saint Pierre Fourier: Fils d'un marchand lorrain, il fit de bonnes études. A vingt ans, il entra chez les Chanoines Réguliers de Saint Augustin. Prêtre, il récusa la charge de professeur de théologie pour devenir curé d'une petite commune où dominaient les protestants, au point qu'on appelait sa paroisse de Mattaincourt « la petite Genève ». Mais cela ne le décourageait pas. Il réorganise sa paroisse, fonde une caisse de secours mutuel pour venir en aide aux plus pauvres, crée une association pour l'éducation des filles, animée par Alix Le Clerc, association qui deviendra en 1628 la Congrégation Notre-Dame. Il se voit confier la réforme des Chanoines de Saint Augustin dont il devient le supérieur général. Pendant le même temps, il parcourt la région pour prêcher, passe ses nuits à écrire des lettres. En 1636, Richelieu l'exile en Franche-Comté où il terminera ses jours. |
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10 | Sainte Léocadie: Vierge et martyre. Elle est la patronne de Tolède de temps immémorial. Mise en demeure de renier sa foi, elle fut fouettée publiquement, dévêtue comme une esclave pour l'humilier, elle qui était de condition noble. Elle fut jetée ensuite, inanimée, dans un cachot, jusqu'à en mourir. Nous connaissons, sous son vocable, une ancienne basilique reconstruite en son honneur en 618. De nombreux documents liturgiques lui donnent le titre de « confesseur du Christ », en particulier « l'oracional visigodo » qui contient vingt-neuf prières à « l'illustre confesseur Léocadie ». |
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11 | Saint Damase: Fils de prêtre et membre du clergé romain par tradition familiale, Damase est élu pape en 366 dans une époque troublée par les dissensions théologiques et les querelles de partis. On lui opposera même un antipape durant quelque temps. Il soutient la foi en la Trinité que les ariens combattaient. En même temps, il œuvre en faveur de la réconciliation des fidèles que divisaient alors les problèmes de la traduction entre le grec, langue traditionnelle de l'Eglise, et le latin, langue populaire qui devenait la langue usuelle de l'Italie. Il aura l'audace de commander à saint Jérôme la traduction latine de la Bible : ce sera la Vulgate. Il organisa le culte des martyrs, nettoya et agrandit les catacombes où ils étaient inhumés et, sur leurs tombes, il composa et grava des épigrammes qui font de lui un des premiers poètes latins chrétiens. Il se fit humblement enterrer dans une église voisine. |
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Notre-Dame de Guadalupe: |
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Sainte Lucie: Vierge et martyre à Syracuse, elle est victime de la persécution de Dioclétien en 304. Son nom même évoque la lumière, mais sa vie reste dans l'ombre. Elle fut très populaire et son culte remonte aux premiers siècles. Il s'étendit jusqu'en Scandinavie, en particulier en Suède où la fête païenne de la lumière et des mauvais esprits qui luttent contre elle a été remplacée par la fête de sainte Lucie. A cette date, ce sont les longues nuits de l'hiver nordique. Nous connaissons aussi de longues nuits dans les doutes de notre foi. La rédaction de sa « Passion » date du 5ème voire du 6ème siècle et beaucoup de détails y sont légendaires : enfermée dans un lieu de prostitution, elle sut résister à toute avance ; attelée à deux bœufs pour l'écarteler, ils ne purent bouger ; mise sur un bûcher, les flammes s'éloignèrent d'elle. Ses reliques, vénérées à Syracuse, ont été transportées d'abord à Constantinople et sont actuellement à Venise. |
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St Jean de la Croix: Juan est né en Vieille-Castille dans une famille pauvre. Il est très jeune quand meurt son père. Sa mère doit se louer comme nourrice. Lui-même, pour payer ses études, travaille comme infirmier à l'hôpital de la ville. A 21 ans, il décide d'entrer chez les Pères Carmes et ses supérieurs l'envoient à l'université de Salamanque. Il aspire à retrouver la règle primitive de l'Ordre, faite d'austérité et de prière, mais il n'essuie que des refus. Devenu prêtre, il songe à changer d'Société d'hommes et de femmes qui s'engagent par voeux à suivre le Christ.ordre religieux, quand Dieu lui fait rencontrer sainte Thérèse d'Avila. Avec elle, il réalisera cette réforme dans une vie toute faite d'absolu. Il devient ainsi, auprès de ses frères, un signe de contradiction. On l'emprisonne neuf mois à Tolède, menottes aux mains, dans un cachot. Et, de son âme dépouillée de tout appui humain, jaillira le « Cantique spirituel ». Il finit par s'enfuir et il est recueilli par des carmélites déchaussées. Commence alors pour Jean de la Croix une période d'activité rayonnante, ouvrant à tous, carmes et carmélites, gens du peuple et universitaires, l'étroit sentier de la parfaite docilité à l'Esprit Saint. De retour en Castille, il exerce de lourdes responsabilités, tout en désirant la parfaite ressemblance d'amour avec son Seigneur crucifié. Démis de toute charge, malade, calomnié, enfin « se déchire la toile de cette vie » : il entre dans la vision de Dieu et va chanter matines au ciel. |
15 | Bse Virginie Bracelli: |
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16 | Saint Modeste: |
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17 | Sainte Yolande: ou Yolende. Fille de Marguerite de Courtenay, elle refusa la situation à laquelle son rang lui donnait droit. Lors d'un voyage à Luxembourg, elle entra dans le monastère des Dominicaines, contre le gré de sa mère qui s'efforça brutalement de la traîner hors de l'église. Yolande, s'étant échappée, s'enferma dans un caveau. Mais, revenant sur sa décision devant l'insistance maternelle, elle retourna chez elle, tout en gardant présente sa décision. Sa mère enfin l'accepta et Yolande put revenir au monastère de Marienthal où, élue prieure, elle fut pendant vingt-cinq ans le modèle de toute la communauté. |
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18 | Saint Gatien de Tours: |
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19 | Sts Martyrs du Tonkin: |
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20 | St Jean de Cronstadt: |
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21 | Saint Pierre Canisius: |
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22 | Ste Françoise Xavière: |
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23 | St David d'Arménie: Fils d'un père perse et d'une mère arménienne de religion musulmane qui demeuraient en Perse centrale, il fit campagne en Arménie dans l'armée perse. Retrouvant les racines de son peuple et admirant sa foi, il prit la décision de se convertir. Il eut l'accord du gouverneur. Il vécut ainsi en paix jusqu'à l'âge de soixante ans. Vint un nouveau gouverneur en 693, fanatiquement hostile aux chrétiens. Il somma David de revenir à l'islam. Devant son refus, il le condamna à mourir crucifié. |
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24 | St Charbel Makhlouf: |
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25 | Saints et Saintes Emmanuelle, Emmanuel, Manuela, Manuel: |
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Saint Etienne: |
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Saint Jean: |
28 | Les Saints Innocents: |
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29 | St Thomas Beckett: |
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30 | Saint Gédéon: Né dans une famille pauvre d'un village près de Volos en Grèce, il fut placé par ses parents chez un de ses oncles qui tenait un bazar. C'est là qu'il fut enlevé par un musulman pour être employé dans son harem. Le jeune garçon devint musulman sous le nom d'Ibrahim. Torturé par les reproches de sa conscience, il s'enfuit, et ses parents le cachèrent en Crète d'où il s'embarqua trois ans plus tard pour la sainte montagne de l'Athos. Mais il voulut expier publiquement sa faute et il obtint de ses supérieurs de s'engager sur la voie du martyre volontaire. Il revint à la demeure de son ancien maître musulman et lui reprocha de l'avoir forcé à trahir sa foi. Arrêté, il fut pris pour un fou. Bastonné, il fut libéré et retourna à l'Athos. Un an plus tard, il revint en Thessalie et confessa encore le Christ. Arrêté, il fut condamné à avoir les membres tranchés à la hache. Il fut d'abord promené nu sur un âne dans un spectacle grotesque pour l'humilier. Puis étendu, on lui trancha, un à un, les quatre membres sans qu'il prononce un seul gémissement. Il resta ainsi jusqu'au soir, vivant encore, et fut jeté dans la fosse d'aisance du palais où il trouva la mort. Les chrétiens rachetèrent son corps pour le vénérer. |
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St Silvestre: |
Sources : http://har22201.blogspot.ca/2012/03/sainte-francoise-romaine.html et http://eglise.catholique.fr et https://fr.wikipedia.org